Dans cet article, vous allez découvrir des solutions radicales pour que votre grossesse et ses suites se passent aussi merveilleusement que possible.

À la demande de plusieurs de mes patientes enceintes, voici un petit mais condensé récapitulatif de petits conseils que je prodigue généralement pendant mes séances d’ostéopathie prénatales. Pour celle qui sont déjà venue chez moi, cela vous fera un petit pense bête… Et pour les autres, j’espère que ceci vous aidera à rendre votre grossesse aussi extraordinaire que possible.

La grossesse et l’accouchement étant une grande étape dans la vie d’une femme, cela ne passe pas sans laisser de traces.

Je tiens aussi à préciser que chaque femme est unique et réagit différemment en fonction des situations. Là où une aura besoin de soins particuliers après un accouchement, l’autre retrouvera sa forme sans effort. Eh oui la nature et ses mystères…

Quoi qu’il en soit voici un petit récapitulatif de ce qui est très important, pour moi en tant qu’ostéopathe, pour préparer, vivre pleinement son accouchement et pour récupérer le mieux possible après.

Ce qui est très important, c’est déjà d’arriver à la fin de la grossesse en étant, autant que possible ;-), relativement bien dans son corps. Pour ça, l’ostéopathie peut être d’une très grande aide. (Voir dans un autre article sur l’ostéopathie, la grossesse et ses suites).

 

Avant l’accouchement

 

L’idéal, avant toute chose, est de rééquilibrer tout son corps pour arriver avant l’accouchement dans les meilleures conditions possibles : moins de douleurs et de tensions dans le dos, les jambes moins gonflées, pas de tiraillements excessifs dans le ventre dus aux appuis du bébé, …

L’ostéopathie va vraiment vous aider à vous débarrasser de tous vos petits problèmes d’inconfort liés à la grossesse, en utilisant des techniques très douces pour déverrouiller ces zones, ce qui permettra à votre corps de se rééquilibrer et de trouver la posture adéquate.

Je vous expliquerai plus en détails ce que l’ostéopathie peut faire pour vous quand vous êtes enceinte et après accouchement dans un prochain article.

 

Ce que vous, vous pouvez faire pour vous-même :

 

Le massage du périnée

Le massage du périnée permet souvent d’éviter l’épisiotomie, acte chirurgical, consistant à ouvrir les muscles du périnée pour faciliter le passage de l’enfant lors de l’accouchement.

L’épisiotomie n’étant pas très naturelle, elle endommage tout le système de soutien du plancher pelvien.

Conclusion : risques plus grands d’incontinences urinaires, risques infection de la cicatrice, douleurs à la position assise, perturbation et parfois douleurs aux rapports sexuelles du fait de la douleur mais aussi par atteinte de la fonction érectile de la vulve. (On parle de dyspareunie), …
Donc, s’il y a moyen de l’éviter, le corps n’en sera que plus reconnaissant…

Ce massage va permettre de préparer l’ensemble des muscles du périnée à l’accouchement, et de minorer le recours à l’épisiotomie.

En tout cas, je vais toucher du bois…, toute mes patientes qui l’ont fait jusqu’à présent ont évité l’épisiotomie. Juste une ou deux qui ont eu un petit point.

L’idéal est de le commencer un mois avant l’accouchement (8^ème mois de grossesse). Il doit être fait quotidiennement entre 3 et 10 minutes.

Le massage du périnée, va permettre d’augmenter l’élasticité des tissus vaginaux et éviter les risques de déchirures lors de l’accouchement.

L’huile pour le périnée est en vente ou à commander en pharmacie. Demandez juste une « huile pour massage du périnée ».

Pour savoir comment faire, je vous conseille :

• http://www.perineeshop.com/html/methode-massage-perinee
• Sur Youtube : tapez « massage du périnée. Ex:  https://www.youtube.com/watch?v=5BWVVEk_WH0  ou   https://www.youtube.com/watch?v=oUOi75TQrR0

Précisez au gynécologue que vous avez fait un massage du périnée et que sauf si problème, il ne pratique pas l’épisiotomie !!! Si vous avez peur d’oublier dans ces moments-là ou de ne pas oser le demander, dites-le à monsieur pour qu’il s’en charge au moment venu de l’accouchement.

 

« Cale » sous les fesses

C’est une posture un peu « spéciale » mais elle soulage énormément le dos et le bassin quand on est enceinte. L’idéal d’abord, si on a mal au dos (lombaires, sciatique, bassin, …) est de corriger gentiment tous les blocages du corps par un ostéopathe.

Mettez-vous couché sur le dos sur un tapis ou sur le lit ça va aussi. L’idéal, est de demander à quelqu’un de vous aider.

« Fabriquer » une cale en pliant un essuie (genre éponge pas trop grand) pour faire une épaisseur de +/- 10 cm.

Placer les sous les ischions (en gros c’est les os pointus qu’on sent quand quelqu’un de mince vient s’assoir sur nos genoux).

Cette position crée un soulagement et une détente du bas du dos. De plus, elle aide à repositionner correctement les lombaires et le bassin. Si cette position vous gêne ou est douloureuse, ne la faites pas, c’est qu’elle ne vous convient pas.

Rester dans cette position pendant 5 minutes, environ une fois par jour (plus si vous avez trop mal au dos), tous les jours ou à la carte quand vous avez besoin de vous soulager.

 

Ceinture sacro-iliaque

La ceinture sacro-iliaque est idéale pendant et après la grossesse.

Elle réduit la pression sur l’articulation sacro-iliaque et renforce la stabilité. Elle est conçue pour compresser et soutenir les articulations sacro-iliaques, soulageant ainsi la tension et l’instabilité au niveau de ces articulations porteuses. Elle va  diminuer l’hyperlordose.
Indications pendant la grossesse : douleurs sacro-iliaques (bas du dos), problème circulatoire, hypermobilités de la symphyse pubienne, douleurs ligamentaires, sensation de pesanteur, envie d’uriner fréquente, incontinence urinaire, contractilité utérine, …

Après la grossesse, elle est à 100 % indispensable car elle va permettre de « refermer » le bassin après l’accouchement. Cette partie est expliquée plus bas (après accouchement).

La ceinture la mieux conçue que j’ai trouvé est « la ceinture sacro-iliaque Serola ».

 

Le site belge où je l’ai trouvé la moins chère est sur le site de « kinefitshop » : https://www.kinefitshop.be/bekkenband-support.html . Cela revient +/- à 40 euros frais de port compris. Elle arrive le lendemain si elle est commandée avant 23h. Il y a différentes tailles du S au XL. Les mesures de bassin par rapport à la taille à choisir ne sont malheureusement plus décrites sur le site (donc je les ai remise ici). Attention, mesurez bien au niveau du pubis et mettez le mètre ruban bien parallèle au sol.

Taille de la ceinture :

• S : 86 cm de tour de hanche
• M : 87 – 102 cm de tour de hanche
• L : 102 – 117 cm de tour de hanche
• XL : 117 – 133 cm de tour de hanche

 

Massage des seins

Les massages sont une bonne manière de préparer ses seins avant que l’enfant ne tête. Cela va considérablement vous aidez à l’allaiter. Massez doucement votre poitrine et vos tétons durant le dernier mois avec un produit hydratant au moins une fois par jour. N’hésitez pas à mettre votre compagnon à contribution. Si vos seins sont douloureux en revanche, ne vous forcez pas.

 

Sage-femme

Si vous êtes fort stressée en vue de l’accouchement et que vous vous posez beaucoup de question, il peut être intéressant de prendre contact avec la sage-femme qui viendra à la maison après votre accouchement. Maintenant, c’est obligatoire qu’une sage-femme vienne à la sortie de maternité (vu que le séjour a fortement été raccourcis…).

Le fait de lui avoir parlée et/ou de l’avoir rencontrée avant l’accouchement, va vous rassurer pour les suites. Vous saurez que quelqu’un que vous connaissez et en qui vous avez confiance sera près de vous au retour à la maison. Cela aura quelque chose de très rassurant surtout si c’est votre premier enfant.

 

Pendant l’accouchement

 

Demi-péridurale

Si vous voulez une péridurale, demandez qu’on diminue la dose.

Le but est que vous n’ayez pas trop mal mais que vous sentiez quand même quelque chose… Si la péridurale est trop forte, vous ne sentirez pas bien les contractions arriver…

Conclusion : vous n’allez pas pousser efficacement !

 

Dans ces cas-là, c’est le bébé qui va subir tous les inconvénients :

• Le crâne du bébé va se faire comprimer à chaque contraction contre votre bassin si vous ne poussez pas bien en même temps.
• L’expulsion risque de prendre plus de temps. Et donc, plus grand risque de souffrance fœtale.
• De plus, la sage-femme risque de pousser sur votre ventre pour faire sortir le bébé ! Futures mamans, ne laissez personne appuyer sur votre ventre pour en faire sortir votre bébé sans votre accord ! Pousser sur le ventre pour aider le bébé à naître est inutile, voire dangereux !! Car les répercussions sur le bébé après peuvent être importantes : torticolis, reflux, problèmes pour téter, … Mais aussi pour la maman, complications rares mais graves comme des déchirures périnéales, des fractures de côtes ou encore des ruptures utérines.

Accouchement

Si possible, demander que l’on redresse la table (l’incliner plus fort) ou de mettre un gros coussin dans votre dos pour que la descente du bébé se fasse plus facilement avec la pesanteur.

De plus ce sera plus facile pour pousser. Imaginez devoir pousser pour aller à selles en étant couchée… Celles qui ont déjà été hospitalisée et qui ont eu droit à la panne sauront de quoi je parle…

Dans un premier temps, le bébé va s’engager dans la partie supérieure du bassin. Là, la position gynécologique est très bien (genoux écartés, pointes de pieds tournées vers l’extérieur).

Par contre, pour ouvrir la partie inférieure du bassin, il faudrait dans l’idéal rentrer les genoux vers l’intérieur et tourner les pointes de pieds en dedans (comme si vous étiez accroupie pour faire pipi dans la nature).

L’idéal serait d’accoucher accroupie comme dans certaines cultures. Mais bon, par chez nous, cela se fait très rarement, le gynécologue n’étant pas très bien mis.

 

Maintenant rien ne vous empêche de :

• Redresser la table ou de demander qu’on mette un gros coussin dans votre dos pour vous redresser et donc être plus verticale.
• De pousser en rentrant la pointes des pieds vers l’intérieur et de rapprocher vos genoux l’un près de l’autre (position plus physiologique pour l’accouchement).
• Pour pousser, c’est bête à dire, mais pousser comme pour aller à selles… C’est aussi simple que ça.
• Demander de ne pas avoir d’épisiotomie (car vous avez massé le périnée) sauf si ça ne va pas.

 

Après l’accouchement

 

Refermer le bassin

Comme pendant la grossesse, la visite chez votre ostéopathe est plus que nécessaire… Elle est très importante car elle permet d’aider le corps de la maman à récupérer au plus vite. L’accouchement étant un « traumatisme » pour le corps.

S’il y a bien une séance qui devrait être rembourser à 100% par la mutuelle, c’est bien celle-là…

L’ostéopathe va vérifier tout votre corps, de la nuque au coccyx, des intestins à l’utérus, … Bref, il va regarder partout pour « remettre tout en place ». Il va corriger le bassin, les lombaires, « remettre les viscères » dans leurs bonnes positions. Car avec le bébé dans votre ventre, tout a été un peu écraser et balancer sur les côtés… (pour parler platement). L’ostéopathe va permettre également de « relancer » correctement toute la circulation dans le ventre et le bassin.

Bref, votre corps lui dira merci…

L’idéal est de consulter votre ostéopathe dans les 15 premiers jours après votre accouchement.

Après l’accouchement, le truc le plus important pour votre corps que vous devez faire le plus vite possible, c’est de « refermer » le bassin.

L’idéal, serait de le faire carrément dans la salle d’accouchement directement après l’accouchement par des sages-femmes. Malheureusement ces techniques ancestrales se sont perdues au fils du temps et ne sont quasi jamais plus pratiquées. Dans certaines cultures, comme en Afrique notamment, elles sont encore pratiquées. Ils appellent ça « refermer le ventre ».

Lors de la grossesse, des hormones sont relâchées dans le corps afin de faciliter la détente de tous les tissus. Cela permet entre-autre de faciliter la dilatation des structures qui vont contenir votre bébé, mais aussi de permettre l’ouverture du bassin nécessaire à sa sortie à la fin de la grossesse. Cette laxité ligamentaire reste encore 2 mois après l’accouchement si vous n’allaitez pas ou 2 mois après la fin de l’allaitement. Et donc, c’est pendant cette période de laxité ligamentaire, qu’il sera beaucoup plus facile de « refermer » le bassin (car c’est plus souple).

L’intérêt de cette pratique est de permettre au bassin de reprendre sa position d’avant le plus rapidement. Car l’accouchement par voie basse est très traumatisant pour le bassin qui doit s’ouvrir très fort pour faire passer bébé. Plus la technique est faite tôt et souvent, plus le bassin va pouvoir retrouver sa position et sa silouhette d’avant grossesse rapidement. En gros, en faisant ça, vous aurez plus de chance de remettre vos pantalons d’avant grossesse rapidement.

Cela va permettre également au corps de retrouver plus vite son équilibre. Le bassin, le dos, les viscères dont l’utérus vont retrouver leur place beaucoup plus facilement et rapidement grâce à cette technique.

Il y a plusieurs manières de faire pour resserrer le bassin :

• Technique avec écharpe, serrage manuel

Prenez un grand foulard très solide ou une écharpe de portage bébé ou un grand essuie roulé. Demandez à quelqu’un de vous le placez sous les fesses et descendez-le au niveau des grands trochanters (sur les hanches, là où on a souvent une petite culotte de cheval) et refermer comme une ceinture. Prenez comme repaire le pubis, le tissu doit être à ce niveau. Resserrez (par monsieur ou autre) le plus fort possible pendant +/- 2 minutes et refaites-le 3 à 4 fois. L’idéal est de le faire 1 à 2 fois par jour et le plus possible les 15 premiers jours car les ligaments sont encore « laxes » (voir plus haut).

Vous pouvez également attacher la ceinture et la laisser 2 minutes si personne ne sait le faire ou que monsieur est trop fatigué pour tenir 2 minutes…

Cette technique est à faire même à la maternité par monsieur ou la famille à moins que vous tombiez sur de supers sages-femmes qui connaissent ou qui sont prêtes à vous aider.

• Technique avec la ceinture sacro-iliaque

Comme expliqué plus haut, la ceinture sacro-iliaque est conçue pour compresser et soutenir les articulations sacro-iliaques, soulageant ainsi la tension et l’instabilité au niveau de ces articulations porteuses.

Elle soulage réellement mais dans ce cas va permettre de « resserrer » le bassin en même temps.

L’idéal est de la porter au niveau du pubis, sur les hanches (voir photo), pendant minimum 30 minutes au moins 1 à 2 fois par jour (vous pouvez le faire plus longtemps si elle vous soulage) quand vous êtes en position debout (assis ça ne sert à rien). Elle servira même plus tard quand vous avez mal au dos en repassant, jardinant, …

Indications après la grossesse : douleurs du rachis (nuque, haut du dos, reins), douleurs sacro-iliaques (bas du dos), douleurs au niveau de la symphyse pubienne, sensation de pesanteur, de gros ventre qui part en avant comme si vous étiez encore enceinte, incontinence urinaire, en cas de césarienne pour soulager la tension de la cicatrice.
Et aussi : pour les opérés de l’abdomen ou du plancher pelvien (hystérectomie, cure de prolapsus et de hernie), pour les hyperlaxes, pour des métiers « à risque » de prolapsus nécessitant le travail debout (ex infirmières, sages-femmes, coiffeuses), portage de poids, chez les sportifs qui sollicitent beaucoup la mobilité du bassin et du rachis, pour les femmes qui ont des incontinences d’effort.

Elle crée une diminution de l’hyperlordose. Cette statique agit directement sur la sangle abdominale, en renforçant le transverse abdominal inférieur, en repositionnant les viscères vers le haut et l’arrière, ce qui tonifie toute la musculature abdominale profonde, protège le plancher pelvien et stimule la tonification périnéale.

 

Refermer le ventre

•  Technique avec un linge, écharpe

Cette coutume était de mise au siècle dernier en France, à cette époque où il faut le dire la gente féminine ne se passait jamais de corsets et de gaines. Aujourd’hui, encore en Afrique, Asie et Amérique, ce secret de beauté se transmet entre les femmes de la famille, avec quelques variantes selon les régions.

Cela permet de:

• soulager les douleurs du ventre qui a dégonflé ou après césarienne
• replacer les organes et de diminuer le diastasis des muscles abdominaux (grands droits) qui ce sont écartés avec la grossesse
• regagner sa féminité
• améliore la peau

Le bandage du ventre est une des techniques ancestrales qui permettent de refortifier la zone abdominale et de remettre «les choses en place». On peut commencer à les faire quelques jours après l’accouchement et ce, durant trois mois minimum ou plus.

C’est simple, il suffit d’attacher autour du ventre un morceau de tissu bien fermement mais pas au point de s’étouffer non plus.

L’idéal est de le commencer au moins une semaine après l’accouchement

• Technique avec ses mains

Mettez-vous couchée sur le dos (dans votre lit si vous voulez), jambes fléchies ou tendues.

Mettez vos mains sur votre ventre de part et d’autre du nombril. Vous pouvez demander à quelqu’un de vous le faire.

Mettez une tension dans le ventre et rapprochez vos mains comme si vous vouliez refermer une couture centrale (la ligne blanche de la femme enceinte).

Vous allez ainsi aider les muscles et les tissus qui se sont ouverts sur les côtés à se rapprocher pour se refermer plus facilement…

En ce qui concerne bébé…

 

Concernant bébé, je donnerai plus d’informations dans un prochain article mais par contre je vais quand même vous dire ceci :

Si vous voulez allaiter et que ça ne va pas : bébé ne sait pas téter, il pince, le lait ne vient pas bien, vous attrapez des crevasses, …

Ne vous découragez pas et ne renoncez pas ! Ce n’est pas de votre faute ni celui de votre bébé…

Souvent, après l’accouchement, le bébé a des tensions, des blocages à l’arrière du crâne dû à la position en hyperextension au moment du passage de la tête dans le bassin.

Il se retrouve donc avec des blocages qui écrase des petits nerfs (qui passe sous le crâne) qui permettent la succion et la déglutition.

Donc, ce n’est pas qui ne veut pas téter, c’est qui ne sait pas téter correctement. Ce n’est pas non plus vous qui êtes trop sensible et qui n’arrive pas à le faire comme il faut… Ne culpabilisez donc pas !!!

Contactez un ostéopathe spécialisé en nourrissons pour vous aider. Il dégagera les petites tensions à la base du crâne ce qui permettra au bébé de mieux téter et donc vous faire moins mal et éviter les crevasses.

De plus, vous pouvez vous aider d’une téterelle si vous gardez des douleurs ou avant d’aller voir l’ostéopathe pour votre bébé.

La téterelle est plus un truc de grand-mère et est plus rarement utilisé. Et pourtant, elle s’avère très efficace pour vous aider dans un premier temps.

Elle s’ajuste à la forme du sein et du mamelon afin que bébé tète directement au sein de façon interposée.

 

Si le sein est douloureux et que le lait ne vient pas bien, n’hésitez pas à masser le sein et le mamelon, cela va vraiment vous aider (voir plus haut).

 

J’espère que cet article vous a éclairé sur les petits trucs et astuces qui sont pour moi, en temps qu’ostéopathe pour femmes enceintes et post-partum, super important pour le bon déroulement de votre grossesse et de ses suites.

 

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